Les enfants ayant des besoins spéciaux sont désavantagés car certains pourraient ne pas être en mesure de communiquer les abus ou même de contribuer aux enquêtes, a déclaré le ministre adjoint des collectivités locales et du développement rural, M. Kgotla Autlwetse. S’exprimant lors du lancement du rapport de l’enquête sur la violence contre les enfants (VACS) à Gaborone le 10 décembre dernier, M. Autlwetse a déclaré que les effets de la violence s’étalaient sur plusieurs périodes, allant des blessures physiques aux problèmes de santé mentale et aux comportements à risque. Les interventions doivent donc représenter différentes dimensions. Le ministre adjoint a appelé au renforcement des systèmes et à l’institutionnalisation des arrangements.