Les avoirs de plusieurs responsables burundais ont été gelés par la France, selon un arrêté publié le 14 avril 2019. Ces responsables sont accusés d’atteintes à la démocratie ou d’avoir commis des actes de violence en 2015, au moment où le président Pierre Nkurunziza a annoncé sa troisième candidature.
Lire la suite dans le journal du 27 avril 2019