Le principal opposant camerounais, Maurice Kamto et une centaine de ses alliés tous écroués à la prison principale de Yaoundé ont fait une déclaration dans laquelle, ils disent êtres des « prisonniers politique ». Selon l’AFP, les signataires disent réfuter les allégations du ministre de la Communication, René Emmanuel Sadi qui avait affirmé qu’ils étaient détenus pour de faits de droit commun. Pour eux le gouvernement veut leur imputer un certain nombre d’actes dans le dessein évident d’embastiller les alliés pour le changement, paralyser leurs activités politiques, terroriser les populations et anéantir les balbutiements de la démocratie afin d’instaurer le totalitarisme » au Cameroun.