On se rappelle que le président Ouattara avait gracié certaines personnes qui étaient mises en cause dans les violences de 2010 et 2011 en Côte d’Ivoire. Cependant, selon trois associations de défenseurs de droits de l’Hommes, cette amnistie est ‘‘irrecevable’’. Pour ce faire, elles ont déposé un recours devant la Cour suprême. « Lorsque le président ivoirien signe l’ordonnance d’amnistie le 6 août 2018, un nom sort du lot : Simone Gbagbo, l’épouse de l’ancien président. Mais officiellement, ils seraient 800 à en bénéficier. »