Selon un observateur, « une forte dégradation de la gouvernance depuis le début du second mandat d’Alassane Ouattara » en 2015, la capitale économique ivoirienne continue de sentir le béton frais et les projets commerciaux. Mais aujourd’hui, les tensions politiques ressurgissent et, avec elles, un flot d’incertitudes et d’inquiétudes dans la perspective de la présidentielle prévue fin octobre 2020.