Les heurts ont débuté dans la région Amhara avant de se propager à la région Oromiyaa. Un cycle de représailles s’est enclenché et selon de nombreux témoins, la police locale s’est révélée incapable de protéger les étudiants. Cette inefficacité justifie l’intervention de la police fédérale selon le porte-parole du ministère. D’autant plus que d’après Dechassa Gurmu, cinq agents de sécurité des campus ont été arrêtés. Ils sont soupçonnés d’avoir participé aux violences.



















