
Suite au coup d’Etat manqué du 7 janvier 2019, certains leaders de la société civile font l’objet de multiples harcèlements, voir des menaces de mort de la part de personnes inconnues. Face a cette situation, le Réseau des organisations libres de la société civile pour la bonne gouvernance au Gabon (ROLBG) a, dans une déclaration, donné sa position après le putsch avorté.
La tentative de coup de force perpétrée par les éléments des forces de défense réunis au sein du Mouvement patriotique des jeunes des forces de défense et de sécurité du Gabon (MPJFDS) et présidée par Kelly Ondo Obiang, continue de susciter la polémique au niveau de l’opinion nationale et surtout des organisations de la société civile.
Lire la suite dans le quotidien du mardi 29 janvier 2019
