Dans le cadre de la modernisation du secteur agricole, les autorités gabonaises ont décidé de lever environ 184 milliards de Fcfa. Cette somme permettra au pays de freiner l’importation chaque année de denrées alimentaires qui s’élevait à plus de 400 milliards de FCFA.
Le secteur agricole a depuis longtemps été laissé pour compte dans l’économie gabonaise au profit du pétrole. En effet, malgré son potentiel naturel avec des terres riches et disponibles (entre 4 à 5 millions de terres arables), une pluviométrie abondante (1800 à 4000 mm) et un réseau hydrographique de 10 000 km2 l’agriculture ne répond pas aux besoins alimentaires de la population et ne contribue pas assez à l’économie nationale (2,5% du PIB en 2009).
Lire la suite dans le Quotidien Numérique d’Afrique du 23 janvier 2019