Face à l’absence récurrente du chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo depuis son AVC le 24 octobre 2018, les membres de l’opposition et de la société civile réunis autour du mouvement « Appel à agir » ont saisi la justice gabonaise pour qu’elle décrète la vacance du pouvoir. Mais comme au début des soucis de santé du président, la justice s’est montrée incompétente laissant la question de la santé d’Ali Bongo dans les mains des acteurs politiques.
Lire la suite dans le journal du 13 mai 2019