Dans une déclaration de presse datée du 6 août 2019, empreinte de violence, d’amalgames et de contre-vérités, le SAMAN, fidèle à ses habitudes va-t’en guerre, s’est cru en devoir de dénoncer ce qu’il considère comme étant des violations des lois n°2011-24 du 25 octobre 2011, n°2018-36 du 24 mai 2018 et celle n°2018-37. Le ministre Marou Amadou s’est défendu à travers les propos suivants : Ces prétendues violations articulées en 11 points, dont le syndicat n’a manifestement aucune maitrise, sont des affirmations gratuites qui aurait pu être évitées si le syndicat s’était rapproché du Secrétariat permanent pour vérifier son assertion.