La presse révèle qu’au Niger, les enseignants-chercheurs suspendent leurs cours dans les universités publiques. Le mot d’ordre est bien respecté. Les enseignants exigent toujours de meilleures conditions de vie, le règlement de leurs arriérés de primes et surtout le respect du protocole signé il y a quelques mois avec le ministère de l’Enseignement supérieur sur la poursuite des élections des différents recteurs des autres universités du pays.