Le 23 janvier 2019, la presse locale nigériane a indiqué que le gouvernement nigérian a accordé une augmentation de 50 % du salaire minimum, après des mois de bras de fer avec les syndicats de travailleurs, plusieurs manifestations et des menaces de grèves, a annoncé, le mardi 22 janvier 2019, le ministre du travail, Chris NGIGE. Le salaire minimum dans le pays le plus peuplé d’Afrique est actuellement de 18 000 nairas (un peu moins de 44 euros) par mois pour les salariés du public comme du privé. En novembre 2018, les gouverneurs des Etats avaient rejeté un accord portant sur un montant de 30 000 nairas, le qualifiant d’« impraticable » à moins de réduire drastiquement le nombre de fonctionnaires ou d’augmenter les fonds du budget fédéral qui leur sont alloués. Malgré les allocations mensuelles du gouvernement fédéral, de nombreux Etats n’ont pas payé leurs fonctionnaires depuis des mois, blâmant le ralentissement économique qui a plombé le géant ouest-africain depuis 2016. Le ministre du travail a déclaré à la presse que la somme de « 27 000 nairas mensuels a été approuvée », suite à une réunion du conseil national des Etats.
Le 23 janvier 2019, la presse locale nigériane a indiqué que le gouvernement nigérian a accordé une augmentation de 50 % du salaire minimum, après des mois de bras de fer avec les syndicats de travailleurs, plusieurs manifestations et des menaces de grèves, a annoncé, le mardi 22 janvier 2019, le ministre du travail, Chris NGIGE. Le salaire minimum dans le pays le plus peuplé d’Afrique est actuellement de 18 000 nairas (un peu moins de 44 euros) par mois pour les salariés du public comme du privé. En novembre 2018, les gouverneurs des Etats avaient rejeté un accord portant sur un montant de 30 000 nairas, le qualifiant d’« impraticable » à moins de réduire drastiquement le nombre de fonctionnaires ou d’augmenter les fonds du budget fédéral qui leur sont alloués. Malgré les allocations mensuelles du gouvernement fédéral, de nombreux Etats n’ont pas payé leurs fonctionnaires depuis des mois, blâmant le ralentissement économique qui a plombé le géant ouest-africain depuis 2016. Le ministre du travail a déclaré à la presse que la somme de « 27 000 nairas mensuels a été approuvée », suite à une réunion du conseil national des Etats.