Le 16 juin 2020, dans un rapport intitulé “Sans suite”, Amnesty international accuse le président congolais Félix Tshisekedi de “renier sa promesse de justice”. L’organisation a fait mention des victimes des violences commises lors de la période pré-électorale passée mais aussi lors des manifestations réprimées en 2015 et en 2016.
Lire la suite dans le journal du mardi 23 juin 2020
